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Promis je cherche son nom quand il fera jour… promis… pour l’heure on l’appellera Araignée.

Je poste ces quelques photos pour Gaël, le petit pas le grand, qui avec ses yeux de petit grand, (faut pas pousser non plus il est en sixième. Bon c’est vrai qu’il est toujours moins grand que mon Gaël le grand qui est vraiment très grand même si pour moi il restera toujours petit ! J’ai perdu qui dans cette histoire ? ) Donc, avec ses yeux de grand Gaël m’a montré cette jolie araignée ! Merci !

Défilé de parapluies au repas des CATM.

Le plus drôle c’est qu’au bout de 8 ans, mes anciens combattants ne s’étonnent même plus que je prenne en photo leurs parapluies avant de les prendre en photo eux Un café, un tour de table pour dire bonjour à presque tout le monde (j’en oublie toujours )et je suis repartie sous les gouttes en me disant que, oui, c’est bien pratique un parapluie !

« Je vais chez Nadine fabriquer un bol à laine » voilà quelques mots d’Émilie qui suffisent à éveiller ma curiosité :

1. Je ne sais pas ce que c’est un bol à laine

2. J’adore aller dans l’atelier de Nadine (Nadine Brancorsini potière, Sérignan)

3. J’aime beaucoup tout ce qu’Émilie fabrique avec ses mimines

Pour tout savoir sur le bol à laine by Émilie et pour voir ma galerie photo consacrée à cet évènement grandiose : ici

C’était mardi dernier, c’était au théâtre du Sablier, c’était l’Agence des voyages imaginaires et c’était décalé, tendre, drôle, terrible, musical à souhait, c’était éclairé comme j’aime… c’était parfait. Finalement, je n’ai pas fait beaucoup de photos, j’ai profité et c’était top. Une compagnie que j’ai hâte de revoir pour sa lecture des classiques. Merci au théâtre du Sablier pour cette rencontre !

La galerie photos : ici.

Je suis allée rendre visite à l’éleveuse de poule pondeuse Estelle Combe, elle m’a mise au défi de lui réaliser quelques petites choses avec ses oeufs qui sont terriblement bons.

Voilà les oeufs pochés, mon chouchou !

Qu’est-ce donc  ???

Il suffit que j’installe un truc un peu bizarre pour me retrouver avec trois chats entre les pattes…

Du coup, ils servent de modèles ! Zavaipaka !

Les plus avertis noteront la position des oreilles, style je me laisse faire mais je ne suis pas très tranquille…

P.S : je paye en croquettes…

P.S bis : il faut cliquer sur le seul mot pas français de cet article pour retrouver la galerie chat.

J’ai rarement vu un public partager autant de larmes. D’une grande finesse, « les filles aux mains jaunes »  parle de ces femmes qui ont vécu la guerre de 14-18 à l’arrière du front. Quel bel hommage à celles  qui ont souffert de la dureté du travail, de l’absence des hommes, de leur mort aussi… à ces munitionettes, obusettes qui ont laissé leur santé pour fabriquer de quoi armer les soldats… Et au milieu de ce paysage grisonnant un coquelicot a fleuri, un petit bout de fille porteur d’espoir, de révolution, d’un message féministe qui bouscule, émeut et donne envie de ne jamais se résigner.

Très belle écriture de Michel Bellier  mise en scène Joëlle Cattino, en lumière Jean-Luc Martinez (très belles lumières!) avec Anne Sylvain, Valérie Bauchau, Céline Delbecq, Blanche Van Hyfte et en guide tout au long de la pièce le violoncelliste Jean-Philippe Feiss. Sans oublier Camille Levavasseur à la réalisation des costumes !

Ces filles aux mains jaunes, je ne suis pas prête de les oublier ! Après quelques jours en résidence à Sérignan, franco-Belge Dynamo Théâtre a plié bagages direction la Belgique.

À découvrir en images dans la galerie spectacle