Blog

Je ne suis pas forcement bonne cuisinière, mais j’aime bien manger. Rangée dans la case des difficiles à table, voire des cas désespérés, je finis (à peu près) mes assiettes aujourd’hui et j’arrive même à manger des choses improbables comme le boudin, à condition que Thierry Bonfante au Temps de vivre à Uchaux le mette à sa carte. Si dans mon quotidien je peux allier photographie et gastronomie je n’en suis que plus heureuse. Le retour à la Mirande aujourd’hui, après le supplément Goût, était forcement un bon moment. Si vous ne connaissez pas (encore) cette belle maison avignonnaise, il se passe à l’école de cuisine et à la Table haute des heures très savoureuses et en même temps très simples. L’esprit du lieu tient très entre les mains de l’équipe et de Séverine Sagnet, petite fée de cette cuisine merveilleuse, hors du temps.

Dans ce tableau de Vermeer, elle invite des chefs désireux de transmettre, des grands passionnés un peu fous, fous de de cuisine et du partage autour d’une assiette et d’un verre de bon vin. J’ai hâte d’y retourner pour cuisiner, je pense que j’aurai du mal à ne pas sortir mon boîtier…

Un petit clin d’oeil dans la galerie « Miam » ici et lors de ma première visite doublée, une fois pour dire bonjour l’autre pour travailler, on dira ça Severine Ici et encore merci à Richard Bagnol, aujourd’hui installé à Vaison, pour le potentiel gentillesse +++ de son carnet d’adresse ! Ravie d’avoir recroisé la famille Prévôt de Cavaillon , Guilhem Sevin, chef  du restaurant Christian Etienne, et tous les autres que je ne connaissais pas…

Étant donné le temps depuis lequel le poète n’est plus, je suppose bien que ce n’est pas tout à fait son chat blanc, mais enfin, je lui donne le nom de là où je l’ai rencontré.

Bref, en rentrant du Téléthon j’ai trouvé le chat en question couché sur ma voiture, je l’ai délogé gentiment et pour me faire pardonner je lui ai offert une séance photo.

Une brève sortie ce matin…

J-1, avant la parution du supplément Goût, dans Vaucluse Matin ce dimanche.

Merci aux 7 chefs qui ont participé à cette aventure, à Richard Bagnol pour son amitié et au potentiel de sympathie de son carnet d’adresse ainsi qu’aux producteurs de fromages chèvre et brebis qui ont contribué au dossier et à la chambre d’Agriculture via Michèle Bulot-Langlois pour sa connaissance très pointue du territoire.

Et merci à l’équipe des Suppléments du Dauphiné pour me lancer depuis quelques années sur ces sujets que j’adore  !

Dans mon verre, je vois….

Je vois que la Cave coopérative les Coteaux du Rhône fête son primeur jusqu’à ce soir en servant des châtaignes (excellemment) grillées par les coopérateurs, je vois que la cave coopératives souffle  90 bougies cette année, je vois Jean-Henri Fabre en ambassadeur de la cave et je vois un bon rouge, pas du primeur, mais un Plan de Dieu domaine Lebrun vinifié à la cave coopérative…

Un petit selfie ? Souvenir de cette soirée bucolique où la lune, paresseuse poétesse (elle n’a besoin de rien pour inspirer la rêverie), est censée être plus grosse que jamais. Un petit souvenir d’une grande première : une soirée astronomie au Naturoptère sans vent et sans nuage. Et hop, des léonines et un voeux, quel était celui des amoureux ? (un brin geek quand même) Chut, on ne le sera jamais…

Merci à Pesco luno de se faire les révélateurs de l’invisible une à deux fois par an à Sérignan. C’était beau !