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2020Libellule déprimée, jour 2. Elle était toujours là, sur sa tige. Un peu plus loin sur les fleurs de thym, une autre a émergé dans la journée.
La nature prend l’eau, enfin ! Depuis quelques jours, il pleut, c’est salvateur, les semis pointent le bout de leur nez, la passiflore en profite aussi. Le jardin se réveille sous les ondées régulières de la journée.
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2020Il est grand temps d’arrêter les tontes à ras, de se créer simplement des chemins et d’épargner celles et ceux pour qui les tifges creuses et les hautes herbes sont des lieux refuges.
Au bord du bassin, une libellule a émergé, elle est sortie de son exuvie. Quelques recherches et il semblerait que se présente une libellule déprimée, libella depressa Linnaeus. Mâle ou femelle ? Il semblerait que le dimorphisme sexuel viennent après le stade imago. Le mâle présente un corps bleu clair, les femelles jaunâtre.
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2020Et si c’étaient les chats qui avaient préparé ce coup de confinement ? Juste pour avoir un portier h24 ? Lapossibilité de nous harceler sans discontinuer pour avoir des croquettes et le plaisir de nous squatter les devant d’écrans d’ordi ?
Et si ?
Me suivre !