Il y a des lundis matins comme ça où avant même d’avoir posé le pied par terre tu sens que tu es dans le brouillard complet. La tête est ailleurs vers ceux qui attaquent une semaine qui sera triste et compliquée.

Et puis, quand le ciel est raccord, c’est assez étonnant…

Et finalement sur la route, tu te rends compte que le brouillard extérieur peut-être source d’émerveillement, qu’à travers la brume les paysages du quotidien se métamorphosent.

Une demi-heure de pause dans la campagne camarétoise et un retour obligatoire à la maison pour changer : de pantalon, de chaussettes et de chaussures.

Le bonheur tient à peu de choses et la nature est pleine de leçons…